Le nom de « paradis » était donné autrefois à des petits jardins ou vergers bien exposés (pichoun paradis) comme le sont ceux des maisons qui longent cette rue au sud au dessus de l’ancien rempart.
Mais « Paradis » était aussi le nom donné aux lieux de sépulture des premiers chrétiens et jusqu’au XII° siècle. Son nom pourrait donc évoquer aussi le premier cimetière du castrum.
A son extrémité a existé une maison sur portique. Au cours du XX° siècle des maisons vétustes ont été démolies donnant à la rue son aspect actuel plus aéré.
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