

Garavan long de 3 kms, bordé de poivriers et de caroubiers, est le quartier le plus doux de Menton et donc de toute la Côte d'Azur conduit de la frontière italienne à la vieille ville de Menton. Les jardins d'acclimatation y sont encore nombreux.
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Depuis sa création en 1888, le boulevard de Garavan ne cesse d’attirer les grands de ce monde dans ce cadre paradisiaque aux hivers doux. Des villas féeriques furent construites sur ce que l’on a appelé à l’époque le « rêve babylonien » où jardins et architecture se miraient dans la « French Riviera » chère aux Anglais. Jusqu’à la seconde guerre mondiale, ce ne fut que fêtes, luxe et raffinement, excepté en 1914-1918. Après la guerre de 1939-1945, la plupart des familles vendirent leur propriété. Beaucoup tombèrent en ruine. Antibes et Juan-les-Pins devinrent à la mode au détriment de Menton.
« Le boulevard de Garavan, long de 3 kilomètres, bordé de poivriers et de caroubiers, conduit de la frontière à la vieille ville. Il a été classé « chemin départemental » en 1960. Vers son milieu s’ouvre le parc public des Oliviers du Pian, site classé et protégé par l’administration des Beaux-Arts, qui compte six cents arbres âgés de plus de deux siècles. Il faudrait chanter l’olivier, « notre olivier ». Cet arbre-roi dont parle la Bible, arbre éternel qui renaît toujours de sa souche.
« Le boulevard de Garavan, long de 3 kilomètres, bordé de poivriers et de caroubiers, conduit de la frontière à la vieille ville. Il a été classé « chemin départemental » en 1960. Vers son milieu s’ouvre le parc public des Oliviers du Pian, site classé et protégé par l’administration des Beaux-Arts, qui compte six cents arbres âgés de plus de deux siècles. Il faudrait chanter l’olivier, « notre olivier ». Cet arbre-roi dont parle la Bible, arbre éternel qui renaît toujours de sa souche.
Depuis sa création en 1888, le boulevard de Garavan ne cesse d’attirer les grands de ce monde dans ce cadre paradisiaque aux hivers doux. Des villas féeriques furent construites sur ce que l’on a appelé à l’époque le « rêve babylonien » où jardins et architecture se miraient dans la « French Riviera » chère aux Anglais. Jusqu’à la seconde guerre mondiale, ce ne fut que fêtes, luxe et raffinement, excepté en 1914-1918. Après la guerre de 1939-1945, la plupart des familles vendirent leur...
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