

La source, nommée Espeluco, située en haut de la présente avenue Jules Isaac, au nord la ville, versait au XIVe. siècle dans un point d'eau dans le chapitre Saint-Sauveur, en dehors des murs de la ville.
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Servant principalement à laver les mains des moines avant de rentrer dans l'église, et étant le seul point d'eau du faubourg, ceux-ci décidèrent de le donner aux habitants.
En 1444, on édifia une fontaine au coin de la rue de Littera et la rue Gaston de Saporta destinée à l'usage domestique des riverains.
En 1618, probablement à cause de l'encombrement de son emplacement avec l'intensification du trafic en charrette (comme beaucoup d'autres fontaines à cette époque et plus tard) on déplaça la fontaine non loin, rue Adamson.
En 1756 Georges Vallon était chargé d'un plan d'urbanisation de la place de la Cathédrale nécessitant une destruction (comme fut le cas pour la rénovation de la place de la mairie) de certaines maisons et la fontaine dérangeait. Il décida encore une fois de déplacer le monument et trouva une place adossée à un mur datant de l'ère romaine (Ier au Ve siècle).
La fontaine est aujourd'hui présente sur la place de la Cathédrale, ombragée par les parasols des terrasses de cafés.
Les deux pilastres doriques, l'entablement à ressaut et le cadre mouluré forment un ensemble de style très classique. Le bassin en pierre froide est alimenté par deux mufles de lion, assez érodés car en pierre plus tendre, comme l'est le dosseret en pierre jaune de Bibémus qui abrite depuis 1953 un médaillon de profil de Marcel Provence, grand admirateur et défenseur du patrimoine provençale.
En 1444, on édifia une fontaine au coin de la rue de Littera et la rue Gaston de Saporta destinée à l'usage domestique des riverains.
En 1618, probablement à cause de l'encombrement de son emplacement avec l'intensification du trafic en charrette (comme beaucoup d'autres fontaines à cette époque et plus tard) on déplaça la fontaine non loin, rue Adamson.
En 1756 Georges Vallon était chargé d'un plan d'urbanisation de la place de la Cathédrale nécessitant une destruction (comme fut le cas pour la rénovation de la place de la mairie) de certaines maisons et la fontaine dérangeait. Il décida encore une fois de déplacer le monument et trouva une place adossée à un mur datant de l'ère romaine (Ier au Ve siècle).
La fontaine est aujourd'hui présente sur la place de la Cathédrale, ombragée par les parasols des terrasses de cafés.
Les deux pilastres doriques, l'entablement à ressaut et le cadre mouluré forment un ensemble de style très classique. Le bassin en pierre froide est alimenté par deux mufles de lion, assez érodés car en pierre plus tendre, comme l'est le dosseret en pierre jaune de Bibémus qui abrite depuis 1953 un médaillon de profil de Marcel Provence, grand admirateur et défenseur du patrimoine provençale.
Servant principalement à laver les mains des moines avant de rentrer dans l'église, et étant le seul point d'eau du faubourg, ceux-ci décidèrent de le donner aux habitants.
En 1444, on édifia une fontaine au coin de la rue de Littera et la rue Gaston de Saporta destinée à l'usage domestique des riverains.
En 1618, probablement à cause de l'encombrement de son emplacement avec l'intensification du trafic en charrette (comme beaucoup d'autres fontaines à cette époque et plus tard) on...
En 1444, on édifia une fontaine au coin de la rue de Littera et la rue Gaston de Saporta destinée à l'usage domestique des riverains.
En 1618, probablement à cause de l'encombrement de son emplacement avec l'intensification du trafic en charrette (comme beaucoup d'autres fontaines à cette époque et plus tard) on...