Le jardin du Grand hôtel continental est en partie loti à compter de 1930. S’y ouvrent alors deux rues dont les immeubles présentent une unité de style.
Ils sont représentatifs de nombreux immeubles niçois de cette époque avec leurs façades faisant coexister pierre taillée rustiquement et béton coloré. Les architectes de cet ensemble (Honoré Aubert, Gaston Messiah et Louis Milon de Peillon) cherchent, grâce à ce procédé de ciment teinté dans la masse, à retrouver la spécificité des immeubles traditionnels niçois aux enduits de chaux très colorés.