

Le Mur de la Peste a été érigé en 1720 pour protéger le Comtat-Venaissin, suite à l'épidémie de la peste dite "La Grande Peste" provenant de Marseille et qui fit périr plus de 20% de la population du Comtat.
En 1720, le Grand Saint-Antoine, bateau venu du Levant, introduit la peste à Marseille. Très vite, l’épidémie se propage en Provence et atteint Apt. Pour l’empêcher d’entrer dans le Comtat Venaissin, le vice-légat du Pape fait construire une muraille de 27 kilomètres de long en pierre sèche, de Monieux au Nord jusqu’aux Taillades sur la Durance. À partir de 1723, le mur n'a plus d'utilité sanitaire, et on réutilise les pierres pour d'autres constructions.
Depuis 1986, une campagne de restauration et de valorisation est en place par l'intermédiaire de l'association "Pierre sèche en Vaucluse". On peut voir le mur entre Cabrières-d'Avignon et Lagnes, ainsi qu'à Murs et il reste une partie du Mur sur les hauteurs de Fontaine-de-Vaucluse.
Aujourd'hui, près de 6 kilomètres ont été restaurés.
Depuis 1986, une campagne de restauration et de valorisation est en place par l'intermédiaire de l'association "Pierre sèche en Vaucluse". On peut voir le mur entre Cabrières-d'Avignon et Lagnes, ainsi qu'à Murs et il reste une partie du Mur sur les hauteurs de Fontaine-de-Vaucluse.
Aujourd'hui, près de 6 kilomètres ont été restaurés.
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Périodes d'ouverture
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