Dans la demande de permis de construire de 1928, par les architectes Joseph Cordone et Louis Constantin, l’immeuble est dénommé La roseraie.
Il adopte en effet une riche ornementation art déco florale, mais aussi géométrique, réalisée en ciment et en ferronnerie. Deux avant-corps formant belvédère sont reliés par une pergola méditerranéenne aux traditionnelles solives en bois.