

Jusqu'en 1865 elle s'appelait "De la liberté, à l'époque de la Révolution. Elle doit son nom actuel au fait qu'elle aboutit au pied des murs de l'ancien château de Jean II.
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Le nom de cette rue rappelle l’ouvrage fortifié qui couronnait la ville médiévale et était destiné à la protéger contre les envahisseurs génois, les pirates et les barbaresques. De petites maisons basses, qui n’avaient qu’un étage, s’échelonnaient le long de ruelles sinueuses et étroites. Toutes ces maisons ont subi des transformations au cours des siècles ; ce qui explique leur état actuel : voûtes brisées, fenêtres agrandies, surélévations… Des clés de soutien, en bois ou en fer, ont été posées après les tremblements de terre, qui ont affecté la région, en particulier celui de 1887.
La rue du Vieux Château est constituée de larges escaliers dits «à pas d’âne» parce qu’ils étaient d’un accès facile aux bêtes de somme. Des maisons tours, ou maisons fortifiées, permettaient la défense de la cité médiévale.
Une légende raconte que trois forbans originaires de Lampedusa, petite île méditerranéenne entre Malte et l’Afrique, s’établirent sur la colline rocheuse de Menton. Trois ruelles de la vieille ville : Aquassoma, Capodanna et Mattoni portent le nom de ces pirates qui bâtirent un repère à leur convenance.
Dans ce labyrinthe, ils pouvaient facilement perdre leurs assaillants qui avaient réussi à franchir les murs de l’enceinte.Tels étaient pris qui croyaient prendre !
Légende : La porte de Jean II au XIXe siècle
La rue du Vieux Château est constituée de larges escaliers dits «à pas d’âne» parce qu’ils étaient d’un accès facile aux bêtes de somme. Des maisons tours, ou maisons fortifiées, permettaient la défense de la cité médiévale.
Une légende raconte que trois forbans originaires de Lampedusa, petite île méditerranéenne entre Malte et l’Afrique, s’établirent sur la colline rocheuse de Menton. Trois ruelles de la vieille ville : Aquassoma, Capodanna et Mattoni portent le nom de ces pirates qui bâtirent un repère à leur convenance.
Dans ce labyrinthe, ils pouvaient facilement perdre leurs assaillants qui avaient réussi à franchir les murs de l’enceinte.Tels étaient pris qui croyaient prendre !
Légende : La porte de Jean II au XIXe siècle
Le nom de cette rue rappelle l’ouvrage fortifié qui couronnait la ville médiévale et était destiné à la protéger contre les envahisseurs génois, les pirates et les barbaresques. De petites maisons basses, qui n’avaient qu’un étage, s’échelonnaient le long de ruelles sinueuses et étroites. Toutes ces maisons ont subi des transformations au cours des siècles ; ce qui explique leur état actuel : voûtes brisées, fenêtres agrandies, surélévations… Des clés de soutien, en bois ou en fer, ont été...
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