Au bout du chemin longeant le rivage, un certain docteur Le Fèvre édifie, vers 1850, une maison de santé, lieu de repos offrant des soins au moyen d’eau de mer.
La villa fait ainsi partie des nombreux établissements de santé qui se multiplient au début de l’ouverture du tourisme aux villégiateurs. Nice est alors une station climatique où viennent se soigner poitrinaires et tuberculeux. Par la suite, la ville se tournera vers les activités de fêtes et de loisirs et beaucoup de ces établissements de santé deviendront hôtels.