

Une maison de couture à la française
Parfois l’inspiration vient en esquissant un croquis au crayon gras sur une feuille de papier, ou en confectionnant un petit morceau de tweed avec son métier à tissé.
Parfois l’inspiration vient en esquissant un croquis au crayon gras sur une feuille de papier, ou en confectionnant un petit morceau de tweed avec son métier à tissé.
Pascale Druilhet fait partie de ces couturières aussi rares que précieuses offrant à la fois un service impeccable et une connaissance du modélisme quasi exhaustive.
La Maison de Couture Pascale Druilhet ouvre ses portes en avril 2022 et propose un service de création sur-mesure, de transformation et retouche d’une part et la vente d’une ligne de vêtements de mode française comme le rappelle son enseigne. Deux collections par an, Printemps-été et Automne-hiver. À travers les vitrines du 52 bis de la rue du 4 septembre où se tient son atelier boutique, on entre-aperçoit quelque uns de ses derniers modèles : veste de gabardine rehaussée d’un galon coloré, robe fluide midi, caban à double boutonnage façon officier col Mao, redingote en tweed, et pour les plus petits, gIlet sans manche en laine tout doux ou barboteuse qu’elle réalise exclusivement sur commande. “Ma plus grande motivation est de savoir que je peux réaliser le rêve des autres”,dit-elle. Les clients et clientes ne s’y trompent pas, entre la commande d’un manteau de velours, trois robes de mariées, le déchiffrage des croquis griffonné à la va-vite ou la recherche de boutons parfaits pour une cliente passionnée et même fibulanophile pourrait-on dire, Pascale ne s’ennuie pas et reconnaît que c’est une fierté d’avoir aujourd’hui un modèle économique qui soit peut être plus humble que les grandes enseignes mais en résonance avec notre temps et nos préoccupations. “Il existe deux sortes deux clientes”, selon Pascale qui en plus de 30 ans de carrière a eu le temps d’observer minutieusement les comportements humains : Celles qui préfèrent jeter un pantalon parce que la fermeture éclair est cassée et celle qui préfèrent investir peut être davantage dans la réparation mais qui ont plus d’attrait pour l'histoire d’un vêtement et la qualité de son tissus et sa valeur affective. Après avoir passé un moment délicieux avec Pascale qui a reçu récemment le titre d’artisan de métier d’art, on préférera à l’évidence se ranger dans la deuxième catégorie.
La Maison de Couture Pascale Druilhet ouvre ses portes en avril 2022 et propose un service de création sur-mesure, de transformation et retouche d’une part et la vente d’une ligne de vêtements de mode française comme le rappelle son enseigne. Deux collections par an, Printemps-été et Automne-hiver. À travers les vitrines du 52 bis de la rue du 4 septembre où se tient son atelier boutique, on entre-aperçoit quelque uns de ses derniers modèles : veste de gabardine rehaussée d’un galon coloré, robe fluide midi, caban à double boutonnage façon officier col Mao, redingote en tweed, et pour les plus petits, gIlet sans manche en laine tout doux ou barboteuse qu’elle réalise exclusivement sur commande. “Ma plus grande motivation est de savoir que je peux réaliser le rêve des autres”,dit-elle. Les clients et clientes ne s’y trompent pas, entre la commande d’un manteau de velours, trois robes de mariées, le déchiffrage des croquis griffonné à la va-vite ou la recherche de boutons parfaits pour une cliente passionnée et même fibulanophile pourrait-on dire, Pascale ne s’ennuie pas et reconnaît que c’est une fierté d’avoir aujourd’hui un modèle économique qui soit peut être plus humble que les grandes enseignes mais en résonance avec notre temps et nos préoccupations. “Il existe deux sortes deux clientes”, selon Pascale qui en plus de 30 ans de carrière a eu le temps d’observer minutieusement les comportements humains : Celles qui préfèrent jeter un pantalon parce que la fermeture éclair est cassée et celle qui préfèrent investir peut être davantage dans la réparation mais qui ont plus d’attrait pour l'histoire d’un vêtement et la qualité de son tissus et sa valeur affective. Après avoir passé un moment délicieux avec Pascale qui a reçu récemment le titre d’artisan de métier d’art, on préférera à l’évidence se ranger dans la deuxième catégorie.
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