L'atelier du refuge accueille dans le cadre du Festival off des Rencontres de la Photographie une exposition qui rassemble une cinquantaine de tirages argentiques en noir et blanc issus des séries photographiques et poétique d'Anne Vergoli.
La première série, Allégorie de l’étreinte, met en regard des photographies
de l’adolescente Marguerite et des photographies de paysages familiers.
Nous la découvrons endormie et suivons le cheminement de ses rêves.
Dans la deuxième série, Ode au vent, Marguerite vagabonde, virevolte et tournoie dans les sous - bois
du Pays de Caux en quête de liberté.
Dans une narration fragmentaire s’élabore un langage poétique qui alterne
image et texte. Théâtre de l’intériorité et de l’intime, les photographies
qui se succèdent posent un regard mélancolique sur le monde. Le temps semble y être suspendu. Balade, promenade, errance, vagabondage,
dans les jardins, parcs et bois voisins, croisés dans les paysages du quotidien ;
chaque chemin emprunté suit le trouble du flottement poétique.
Dans l’inconscient collectif des contes est puisée une force onirique explorée dans les sujets. Ainsi l’eau de la mare, le sillon
d’un chemin, le mouvement d’un arbre, ouvrent un imaginaire pour composer
chaque image et nous plonger dans le champs des possibles. Les détails des paysages découverts dans ces microcosmes deviennent
matière à la rêverie et à la narration poétique.
de l’adolescente Marguerite et des photographies de paysages familiers.
Nous la découvrons endormie et suivons le cheminement de ses rêves.
Dans la deuxième série, Ode au vent, Marguerite vagabonde, virevolte et tournoie dans les sous - bois
du Pays de Caux en quête de liberté.
Dans une narration fragmentaire s’élabore un langage poétique qui alterne
image et texte. Théâtre de l’intériorité et de l’intime, les photographies
qui se succèdent posent un regard mélancolique sur le monde. Le temps semble y être suspendu. Balade, promenade, errance, vagabondage,
dans les jardins, parcs et bois voisins, croisés dans les paysages du quotidien ;
chaque chemin emprunté suit le trouble du flottement poétique.
Dans l’inconscient collectif des contes est puisée une force onirique explorée dans les sujets. Ainsi l’eau de la mare, le sillon
d’un chemin, le mouvement d’un arbre, ouvrent un imaginaire pour composer
chaque image et nous plonger dans le champs des possibles. Les détails des paysages découverts dans ces microcosmes deviennent
matière à la rêverie et à la narration poétique.
