Par Christian Ladret, conférencier, chercheur indépendant, membre de la Société des Amis du Vieux Toulon et de sa Région.
Ces mots auraient été prononcés par Louis XVI avant de monter à l’échafaud. Ils donnent la mesure de l’inquiétude du roi sur la disparition de l’expédition conduite par ce grand marin, partie de Brest en 1785, et qui devait explorer le Grand Océan (Pacifique), à bord des deux frégates, La Boussole et l’Astrolabe.
Les récits des deux premières années de ce périple nous sont parvenus grâce aux relâches de navires dans les ports où la France avait des consulats ou des relations amicales.
Puis, à partir de 1788, c’est le grand silence, plus aucune nouvelle ! En 1791, une expédition de recherches, confiée au Chevalier d’Entrecasteaux, ne retrouvera aucune trace de La Pérouse. Bien que Dumont d’Urville localise l’île de Vanikoro en 1828 comme le lieu probable du naufrage de l’expédition, il faudra attendre le début du XXIe siècle pour lever totalement le doute et confirmer cette hypothèse.
Pour nous parler de ce mystère qui a passionné l’opinion depuis deux cents ans, nous aurons la chance d’avoir un conférencier qui a, en Océanie, participé aux recherches ayant abouti à la découverte des épaves…
Les récits des deux premières années de ce périple nous sont parvenus grâce aux relâches de navires dans les ports où la France avait des consulats ou des relations amicales.
Puis, à partir de 1788, c’est le grand silence, plus aucune nouvelle ! En 1791, une expédition de recherches, confiée au Chevalier d’Entrecasteaux, ne retrouvera aucune trace de La Pérouse. Bien que Dumont d’Urville localise l’île de Vanikoro en 1828 comme le lieu probable du naufrage de l’expédition, il faudra attendre le début du XXIe siècle pour lever totalement le doute et confirmer cette hypothèse.
Pour nous parler de ce mystère qui a passionné l’opinion depuis deux cents ans, nous aurons la chance d’avoir un conférencier qui a, en Océanie, participé aux recherches ayant abouti à la découverte des épaves…

