En cette année olympique, l’édition 2024 des Dîners insolites donne carte blanche aux chefs pour réinventer la cuisine provençale à la lumière d’une ouverture au monde.
Il va falloir se perdre dans les méandres de la Sainte-Victoire pour se rendre dans un cadre exceptionnel. Ce domaine déploie ses vignes à 500 m d’altitude, dominant sur le Cengle, la vallée de l’Arc. Les Monts Aurélien et la Sainte-Baume se découvrent dans un horizon unique, en dialogue avec la montagne sacrée si chère aux Provençaux.
Voilà un chef dont on ne parle pas assez. Thomas Roret a repris la table de Jean-Luc Le Formal qu’il a longtemps secondé. Elle s’appelle désormais Les Caves d’Henri IV. Passé par Ferrandi, il fait ses classes chez Guy Savoy qui sera son mentor. Il fera ensuite le tour de quelques-unes des grandes maisons en Angleterre, au Gavroche et en France auprès de Jean Coussau (Relais de la Poste **) ou d’Emile Jung (Au Crocodile ***). Pour lui la cuisine est un acte d’amour. A sa table, on se laisse emporter par son inventivité et sa technique très élégante, entre tradition et découverte.
Voilà un chef dont on ne parle pas assez. Thomas Roret a repris la table de Jean-Luc Le Formal qu’il a longtemps secondé. Elle s’appelle désormais Les Caves d’Henri IV. Passé par Ferrandi, il fait ses classes chez Guy Savoy qui sera son mentor. Il fera ensuite le tour de quelques-unes des grandes maisons en Angleterre, au Gavroche et en France auprès de Jean Coussau (Relais de la Poste **) ou d’Emile Jung (Au Crocodile ***). Pour lui la cuisine est un acte d’amour. A sa table, on se laisse emporter par son inventivité et sa technique très élégante, entre tradition et découverte.
