Le prestigieux orchestre des Champs-Élysées propose un programme spécial Dvořák, où la puissance symphonique voisine avec l’onctuosité du violoncelle solo.
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Sous la houlette de son chef (et fondateur) Philippe Herreweghe, l’orchestre programme la plus éclatante symphonie de la fin du XIXe siècle : la Symphonie n°9 dite du « Nouveau Monde ». Alors directeur du Conservatoire de New York, Dvořák écrit en 1893 une ultime symphonie qui mêle folklore populaire tchèque aux échos de chants indiens et noirs-américains entendus durant son séjour.
En contrepoint de cette oeuvre universellement célèbre, le Concerto pour violoncelle, lui aussi composé aux...
En contrepoint de cette oeuvre universellement célèbre, le Concerto pour violoncelle, lui aussi composé aux...