Rencontrez les univers artistiques fascinants de Christian Feltin, Frédéric Lange et Christine Stephanoff.
Pour Christian Feltin, le peintre n’est que le passeur de son imaginaire vers l’œil et l’émotion du spectateur. Au travers de sa peinture, un dialogue s’établit entre ses racines asiatiques et le monde occidental qui l’a vu grandir, aboutissant aujourd’hui à une
peinture libérée de l’académisme de sa formation première, une peinture vigoureuse et structurée ou l’on perçoit l’architecte qu’il fut tout au long de sa carrière.
Christine Stephanoff exprime à travers ses créations d’aspect ludique, un retour à la conscience de l’être face à ses réels besoins. La diversité des éléments constituant les personnages illustre la richesse des expériences d’une vie que chacun expérimente à travers
ses activités, ses rencontres, ses sensibilités, face aux accords ou désaccords sociaux.
Frédéric Lange nous transporte dans un univers fait de cet amalgame du bois et du bronze qui met l’accent sur la marque du temps et de l’homme. La représentation de l’être humain à travers les visages montre tout à la fois, la fragilité et la résilience de la condition humaine. Quant à l’abstraction, elle nous renvoie vers la fragilité du décor dans lequel nous évoluons pour si peu de temps.
peinture libérée de l’académisme de sa formation première, une peinture vigoureuse et structurée ou l’on perçoit l’architecte qu’il fut tout au long de sa carrière.
Christine Stephanoff exprime à travers ses créations d’aspect ludique, un retour à la conscience de l’être face à ses réels besoins. La diversité des éléments constituant les personnages illustre la richesse des expériences d’une vie que chacun expérimente à travers
ses activités, ses rencontres, ses sensibilités, face aux accords ou désaccords sociaux.
Frédéric Lange nous transporte dans un univers fait de cet amalgame du bois et du bronze qui met l’accent sur la marque du temps et de l’homme. La représentation de l’être humain à travers les visages montre tout à la fois, la fragilité et la résilience de la condition humaine. Quant à l’abstraction, elle nous renvoie vers la fragilité du décor dans lequel nous évoluons pour si peu de temps.
