Après quatre ans de formation aux Arts plastiques de Colmar, j’explore l’intériorité et la forme de l’humain, pour me consacrer ensuite à l’esthétique et au sens du monde végétal, minéral et tellurique.
Elle coupe, elle tord, elle soude, elle imagine, elle sculpte et elle peint ! En combat comme en amour avec ce matériau qui porte son nom. Curieuse coïncidence... Révélation évidente, Marie-Thérèse Zink en fera son crédo. Ce chemin passionnant, éreintant, bouleversant, qui depuis, la mène à elle et qui la rend unique.
Son travail se centre alors sur la notion du temps, de son effet sur le monde et les êtres. Sur leur transformation, leur passage entre la vie et la mort et le cycle perpétuel des forces de l’univers.
Son travail se centre alors sur la notion du temps, de son effet sur le monde et les êtres. Sur leur transformation, leur passage entre la vie et la mort et le cycle perpétuel des forces de l’univers.

