Philippe Leclerc (1936-2017) était en perpétuelle recherche de styles différents et de nouvelles techniques. Sa production artistique est extrêmement riche.
Cette exposition est présentée par Blaise Leclerc son fils.
Cette exposition est présentée par Blaise Leclerc son fils.
Avant d’innover dans le domaine technique, Philippe Leclerc a appris et maîtrisé la plupart des techniques de dessin, de peinture, de reliure et dorure (son métier initial). Il réussissait également dans d’autres techniques artisanales : couture, tapisserie, cartonnerie (maquette), gravure, sculpture...
1960-1980
Il découvre et se perfectionne dans la peinture à l’huile, avec la production de nombreuses toiles peintes d’après nature durant les vacances scolaires (dans la Nièvre, le Gard, le Vaucluse), et des natures mortes réalisées dans son atelier parisien. Il remplit aussi plusieurs carnets à dessin de paysages et de natures mortes, avec des techniques différentes (gouache, aquarelle, encre, crayon gris, crayon de couleur…). En parallèle, il s’adonne à la reliure d’art et explore toutes les techniques citées plus haut.
1980-2017
Sans jamais abandonner le dessin d’observation (paysage, portrait, nature morte), il explore de plus en plus des sujets abstraits entre les années 1980 et son décès en 2017. Il utilise le papier mâché, soit comme support de peinture (il prépare des plaques de papier mâché sur lesquelles il peint une fois qu’elles sont sèches), soit pour la réalisation de sculptures abstraites ou non (figurines, masques, animaux).
1960-1980
Il découvre et se perfectionne dans la peinture à l’huile, avec la production de nombreuses toiles peintes d’après nature durant les vacances scolaires (dans la Nièvre, le Gard, le Vaucluse), et des natures mortes réalisées dans son atelier parisien. Il remplit aussi plusieurs carnets à dessin de paysages et de natures mortes, avec des techniques différentes (gouache, aquarelle, encre, crayon gris, crayon de couleur…). En parallèle, il s’adonne à la reliure d’art et explore toutes les techniques citées plus haut.
1980-2017
Sans jamais abandonner le dessin d’observation (paysage, portrait, nature morte), il explore de plus en plus des sujets abstraits entre les années 1980 et son décès en 2017. Il utilise le papier mâché, soit comme support de peinture (il prépare des plaques de papier mâché sur lesquelles il peint une fois qu’elles sont sèches), soit pour la réalisation de sculptures abstraites ou non (figurines, masques, animaux).
