L’exposition propose à la fois une fiction familiale, ayant réorganisé les images de Pierre et de Jean selon mon propre récit, et un hommage à la photographie.
Elle étire la capacité matricielle de la photographie (une reproduction à l’infini) et combine les styles, de l’instantané à la fiction, avec le projet de roman-photo que je mène depuis quelques années, Le Monde des apories.

