Exposition "Psychopompe-moi" d'Aimée Fleury, jeune diplômée des Beaux-Arts de Monaco (Pavillon Bosio), organisée par la Galerie Itinérante de la FUP AIC
Artiste plasticienne mixte, scénographe et photographe née à Paris en 1998, Aimée Fleury crée une
rencontre entre le visible et l’invisible, explore les interstices de notre société contemporaine à la croisée
de l’art et de la philosophie. Portant en elle les stigmates d’une époque en proie à des bouleversements
écologiques, politiques et sociaux sans précédent. Son parcours académique au Pavillon Bosio, École
supérieure d’art plastique et de scénographie de Monaco, a forgé sa vision atmosphérique et sa poétique
prosélyte.
À travers cette exposition, Aimée nous entraîne dans un voyage à travers l’anthropo(s)cène, explorant
l’inconscient collectif et les symboles qui l’habitent. Elle se consacre à une réflexion profonde sur la
féminitude et l’agentivité des artistes femmes dans l’histoire de l’art au travers de son manifeste Auto-
Muse. Ses oeuvres font des objets organiques abandonnés des supports de récits silencieux et puissants,
soigneusement choisis pour leur capacité à susciter des émotions et des questionnements sociaux
aussi politiques qu’intimes. À travers ses créations, elle évoque une nouvelle esthétique, une poésie de
l’abandon et une méditation sur l’authenticité.
rencontre entre le visible et l’invisible, explore les interstices de notre société contemporaine à la croisée
de l’art et de la philosophie. Portant en elle les stigmates d’une époque en proie à des bouleversements
écologiques, politiques et sociaux sans précédent. Son parcours académique au Pavillon Bosio, École
supérieure d’art plastique et de scénographie de Monaco, a forgé sa vision atmosphérique et sa poétique
prosélyte.
À travers cette exposition, Aimée nous entraîne dans un voyage à travers l’anthropo(s)cène, explorant
l’inconscient collectif et les symboles qui l’habitent. Elle se consacre à une réflexion profonde sur la
féminitude et l’agentivité des artistes femmes dans l’histoire de l’art au travers de son manifeste Auto-
Muse. Ses oeuvres font des objets organiques abandonnés des supports de récits silencieux et puissants,
soigneusement choisis pour leur capacité à susciter des émotions et des questionnements sociaux
aussi politiques qu’intimes. À travers ses créations, elle évoque une nouvelle esthétique, une poésie de
l’abandon et une méditation sur l’authenticité.
