Cie Kokeshi. Avec Capucine Lucas et Stéphanie Gaillard, en alternance avec Pauline Bigot. Un jour, il y a très très longtemps, une maman donna naissance à la maman de ma maman... Ainsi commence cette incroyable fable familiale.
Savoir d'où je viens, qui je suis, où je vais. Autant de vastes questions que se posent petits et grands. Avec « Les Joues Roses », la Compagnie Kokeshi tente d’y répondre en évoquant par le mouvement la filiation et la transmission. Un poème onirique sur la construction de soi, un voyage émotionnel à travers les générations.
S’inspirant de l’album « De maman en maman » d’Emilie Vast, « Les Joues Roses » proposent aux plus jeunes et à ceux qui les accompagnent de s’interroger sur l’existence et d’explorer le passé à travers les saisons et les siècles. Nous parcourons des histoires générationnelles au fil de matriochkas, ces poupées russes richement décorées qui s’emboîtent à l’infini, se ressemblent et sont pourtant toutes différentes. En abordant le thème de la filiation, les artistes questionnent la place de la femme dans leur propre famille mais aussi celle plus globale qu’elle occupe dans notre société.
Une invitation au voyage intérieur où la musique entraîne les deux danseuses dans une transe et où l’espace scénique, intime et sublimé par une esthétique enivrante, est peuplé de leurs gestes délicats, puissants et tendres à la fois.
Création chorégraphique : Capucine Lucas
Création musicale : Guillaume Bariou
Scénographie : Lise Abbadie
Photos : Ernest Mandap.
S’inspirant de l’album « De maman en maman » d’Emilie Vast, « Les Joues Roses » proposent aux plus jeunes et à ceux qui les accompagnent de s’interroger sur l’existence et d’explorer le passé à travers les saisons et les siècles. Nous parcourons des histoires générationnelles au fil de matriochkas, ces poupées russes richement décorées qui s’emboîtent à l’infini, se ressemblent et sont pourtant toutes différentes. En abordant le thème de la filiation, les artistes questionnent la place de la femme dans leur propre famille mais aussi celle plus globale qu’elle occupe dans notre société.
Une invitation au voyage intérieur où la musique entraîne les deux danseuses dans une transe et où l’espace scénique, intime et sublimé par une esthétique enivrante, est peuplé de leurs gestes délicats, puissants et tendres à la fois.
Création chorégraphique : Capucine Lucas
Création musicale : Guillaume Bariou
Scénographie : Lise Abbadie
Photos : Ernest Mandap.
