L'artiste plasticien Pierre Giroux vous invite à venir découvrir son univers lors de son exposition à la Chapelle Sainte Foy dans le village des Beaumettes.
Pierre Giroux : L’artiste du Souleyan
Dans une famille de notables bourguignons, il voit le jour à Autun en 1947. Sa mère fut élève de l’école de Sèvres et très tôt, Pierre manifeste un don particulier pour les arts plastiques.
En 1964 il est aux Beaux Arts de Dijon puis à l’atelier Poncelet aux Beaux de Paris.
Tout d’abord graphiste chez Publicis, puis antiquaire à Meursault, il voyage beaucoup à travers des pays de lumière, Grèce, Maroc, Algérie, Tunisie, toujours avec quelques pinceaux. En 1980 il arrive dans le Luberon.
A Lacoste il devient bâtisseur, constructeur, architecte, maçon, manœuvre et peintre.
Premières expositions, toiles de grand format « Piétas masquées » à l’abbatiale de Tournus, mais en conflit avec lui même il part aux U.S.A puis au Niger, dépressif il rentre en France découvre le Zen et la méditation.
De là, le temps passant il mettra du bleu dans son âme et de la légèreté dans sa peinture.
En 1998, véritable coup de cœur pour une ancienne filature au Souleyan au pied d’Oppede le Vieux.
Lui qui a toujours eu un rapport particulier avec les maisons, sensible à leurs vibrations et à leur histoire, il va redonner à cette ancienne bâtisse son âme et y installer son atelier.
Plus violent que Lacoste, Oppède le vieux lui convient.
Cette puissance mystérieuse de la nature obsédante lui est nécessaire car pour cet artiste, peindre n’est pas reposante elle est exigeante.
Dans une famille de notables bourguignons, il voit le jour à Autun en 1947. Sa mère fut élève de l’école de Sèvres et très tôt, Pierre manifeste un don particulier pour les arts plastiques.
En 1964 il est aux Beaux Arts de Dijon puis à l’atelier Poncelet aux Beaux de Paris.
Tout d’abord graphiste chez Publicis, puis antiquaire à Meursault, il voyage beaucoup à travers des pays de lumière, Grèce, Maroc, Algérie, Tunisie, toujours avec quelques pinceaux. En 1980 il arrive dans le Luberon.
A Lacoste il devient bâtisseur, constructeur, architecte, maçon, manœuvre et peintre.
Premières expositions, toiles de grand format « Piétas masquées » à l’abbatiale de Tournus, mais en conflit avec lui même il part aux U.S.A puis au Niger, dépressif il rentre en France découvre le Zen et la méditation.
De là, le temps passant il mettra du bleu dans son âme et de la légèreté dans sa peinture.
En 1998, véritable coup de cœur pour une ancienne filature au Souleyan au pied d’Oppede le Vieux.
Lui qui a toujours eu un rapport particulier avec les maisons, sensible à leurs vibrations et à leur histoire, il va redonner à cette ancienne bâtisse son âme et y installer son atelier.
Plus violent que Lacoste, Oppède le vieux lui convient.
Cette puissance mystérieuse de la nature obsédante lui est nécessaire car pour cet artiste, peindre n’est pas reposante elle est exigeante.
