Cette troisième saison convoque les luttes pour les droits humains et pour les droits de la Terre. Elle explore les causes à défendre pour mieux vivre ensemble, et mieux habiter notre planète.
Au croisement du débat, du théâtre et de l’instruction judiciaire, cet espace de délibérations citoyennes interroge les combats qui agitent nos sociétés contemporaines en réunissant témoins, spécialistes et pièces à conviction.
Cette troisième saison convoque les luttes pour les droits humains et pour les droits de la Terre. Elle explore les causes à défendre pour mieux vivre ensemble, et mieux habiter notre planète.
De novembre 2023 à mars 2024, nous mettrons en débat (et en procès) le dérèglement climatique, les discriminations, les précarisations. Quelles causes à ces déséquilibres mortifères ? Quels outils, quelles propositions, quels droits acquis et à conquérir ?
Une série de rencontres imaginée et produite par le Mucem en collaboration avec Grégoire Ingold.
Illustrations et journal dessiné par Benoît Guillaume.
Avec Camille Étienne (activiste) et Jérémie Suissa (délégué général de Notre Affaire à Tous)
Modération : Paloma Moritz
Avec la participation d’Enguerrand Lascols, conservateur du patrimoine, responsable du pôle Vie domestique au Mucem.
En décembre 2018, quatre ONG assignaient l’État français en justice pour son inaction face au changement climatique. Leur objectif ? Faire reconnaître par les juges l’obligation de l’État à agir pour limiter le réchauffement planétaire à 1,5°C, afin de protéger les Français face aux risques induits par le dérèglement climatique.
Cette action s’inscrit dans un mouvement international plus vaste visant à utiliser le système judiciaire pour contraindre les États à prendre les mesures qui s’imposent. Mais est-ce vraiment efficace ? Faut-il aller jusqu’à donner une personnalité juridique aux fleuves, aux lacs et autres espaces naturels, comme c’est déjà le cas dans une vingtaine de pays ? Faisons le point sur ce qui a réellement pu être obtenu et sur l’actualité des combats menés.
Cette troisième saison convoque les luttes pour les droits humains et pour les droits de la Terre. Elle explore les causes à défendre pour mieux vivre ensemble, et mieux habiter notre planète.
De novembre 2023 à mars 2024, nous mettrons en débat (et en procès) le dérèglement climatique, les discriminations, les précarisations. Quelles causes à ces déséquilibres mortifères ? Quels outils, quelles propositions, quels droits acquis et à conquérir ?
Une série de rencontres imaginée et produite par le Mucem en collaboration avec Grégoire Ingold.
Illustrations et journal dessiné par Benoît Guillaume.
Avec Camille Étienne (activiste) et Jérémie Suissa (délégué général de Notre Affaire à Tous)
Modération : Paloma Moritz
Avec la participation d’Enguerrand Lascols, conservateur du patrimoine, responsable du pôle Vie domestique au Mucem.
En décembre 2018, quatre ONG assignaient l’État français en justice pour son inaction face au changement climatique. Leur objectif ? Faire reconnaître par les juges l’obligation de l’État à agir pour limiter le réchauffement planétaire à 1,5°C, afin de protéger les Français face aux risques induits par le dérèglement climatique.
Cette action s’inscrit dans un mouvement international plus vaste visant à utiliser le système judiciaire pour contraindre les États à prendre les mesures qui s’imposent. Mais est-ce vraiment efficace ? Faut-il aller jusqu’à donner une personnalité juridique aux fleuves, aux lacs et autres espaces naturels, comme c’est déjà le cas dans une vingtaine de pays ? Faisons le point sur ce qui a réellement pu être obtenu et sur l’actualité des combats menés.
