Avec force et humour, ce spectacle met en scène un homme qui se place en toute conscience et avec jouissance contre le bien-être.
Et tout en agissant volontairement contre son propre intérêt, il affirme avec une méchanceté vaniteuse, sa propre négation, se délectant du raclage de son âme, comme d’une dent creuse qu’on se rêve à vider…
Ce sont des égouts de l’âme dont il est question ici : Ils débordent et refoulent ! Et c’est cette puanteur, cette bêtise la plus crasse que l’homme voudra toujours se conserver dans le seul but de se confirmer à lui-même qu’il est encore un homme et pas une touche de piano !
L’écriture de Dostoïevski creuse dans l’âme humaine pour y dégager une zone infectieuse, qui comme dans le foie gras, trouve tout son intérêt dans sa propre maladie. Elle ne cherche rien à soigner, à calmer ou à masquer mais réintègre brutalement dans notre regard une vision de l’être humain qui ne se résume pas à son « humanité » !
Ce sont des égouts de l’âme dont il est question ici : Ils débordent et refoulent ! Et c’est cette puanteur, cette bêtise la plus crasse que l’homme voudra toujours se conserver dans le seul but de se confirmer à lui-même qu’il est encore un homme et pas une touche de piano !
L’écriture de Dostoïevski creuse dans l’âme humaine pour y dégager une zone infectieuse, qui comme dans le foie gras, trouve tout son intérêt dans sa propre maladie. Elle ne cherche rien à soigner, à calmer ou à masquer mais réintègre brutalement dans notre regard une vision de l’être humain qui ne se résume pas à son « humanité » !

