
Lors de sa création, ce petit bijou du chorégraphe Jan Martens avait suscité une pluie d’éloges. Onze ans après sa création, le propos et son langage restent d’une même actualité.
« Quand on demande à quelqu’un de sauter, son attention se dirige surtout sur l’action du saut et le masque tombe, ainsi apparaît la véritable personne. »
Cette citation du photographe américain Philippe Halsman est le point de départ et le principe de cette pièce de 2014, qui a rendu célèbre la chorégraphe Jan Martens. Embarqué dans une mécanique complexe et épuisante, chaque interprète s’efforce d’atteindre la perfection, de tenir la cadence du collectif. Puis les faux pas, les erreurs surgissent… et le véritable visage apparaît. Ni musique, ni mélodie pour accompagner l’effort : la bande son est celle des sauts des 14 interprètes, des réceptions et crissements de leurs baskets sur scène. Alors l’invitation à réfléchir devient une évidence : le spectateur envisage-t-il la souffrance qu’il observe ici comme à une corrida ? Où la frontière entre l’art et le divertissement se situe-t-elle ?
Lors de sa création, ce petit bijou du chorégraphe Jan Martens avait suscité une pluie d’éloges. Onze ans après sa création, le propos et son langage restent d’une même actualité.
Cette citation du photographe américain Philippe Halsman est le point de départ et le principe de cette pièce de 2014, qui a rendu célèbre la chorégraphe Jan Martens. Embarqué dans une mécanique complexe et épuisante, chaque interprète s’efforce d’atteindre la perfection, de tenir la cadence du collectif. Puis les faux pas, les erreurs surgissent… et le véritable visage apparaît. Ni musique, ni mélodie pour accompagner l’effort : la bande son est celle des sauts des 14 interprètes, des réceptions et crissements de leurs baskets sur scène. Alors l’invitation à réfléchir devient une évidence : le spectateur envisage-t-il la souffrance qu’il observe ici comme à une corrida ? Où la frontière entre l’art et le divertissement se situe-t-elle ?
Lors de sa création, ce petit bijou du chorégraphe Jan Martens avait suscité une pluie d’éloges. Onze ans après sa création, le propos et son langage restent d’une même actualité.
Tarifs
Tarifs
Du 11 février 2026 au 12 février 2026
Du 11 février 2026 au 12 février 2026
Plein tarif
15,00 €
Tarif réduit3€ minima sociaux
5€ - de 18 ans
7€ embarquement réduit
10€ tarif réduit
5€ - de 18 ans
7€ embarquement réduit
10€ tarif réduit
De 3,00 € à 7,00 €
Horaires
Horaires
Du 11 février 2026 au 12 février 2026
Du 11 février 2026 au 12 février 2026
Mercredi
20:00 - 21:15
Jeudi
20:00 - 21:15
Localisation
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Langues parlées
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